Dans l’épisode 3, Fanny racontait les violences subies — notamment à travers le contrôle exercé sur ses choix, son apparence, sa façon d’être.
Pourtant, elle a choisi la scène et notamment, le gogo dancing.
Un espace qu’elle investit à sa manière — pour danser, s’exprimer, exister.
On croit souvent tout savoir sur le gogo.
Mais derrière les lumières, les regards et les jugements, il y a des corps en mouvement, une scène à habiter, un espace à revendiquer.
Et, sans se mentir, de l'argent à gagner.
Fanny raconte comment elle est devenue gogo danseuse. Pas pour aguicher — pour danser.
Pour incarner une présence, un rythme, une liberté.
Elle parle d’art, de contrôle, de passion, et de ce que ça change, quand on reprend la scène pour soi.
🎙️ Épisode 3bis du podcast Ça n’arrive qu’aux autres : "Être gogo n’est jamais trop"